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- Dog Diaries IWild: le débat continue sur la complexité de la conservation
5 mars 2013 | Brendan Whittington-Jones
Le Lycaons pourrait être décrit comme l'antithèse du linéaire. Leurs dynamiques sociales complexes, leur design élégant , leur déplacement semi-nomade, sont en contradiction directe avec l'approche humaine du développement des infrastructures , telles que celles qui sont imposées par des routes et des clôtures. Les chiens sauvages, comme beaucoup de carnivores, peuvent survivre à faible densité de population, mais leurs besoins en proies est énorme et les rendent souvent vulnérables à la persécution . De plus ,L a réduction du nombre de ces proies dû à la réduction de leur habitat et la fragmentation de leur population n'arrange pas les choses. Il y a également beaucoup de débats et d' argumentation sur leur consommation, la responsabilité, l'impact financier, la perception, la valeur que lui donne le touriste, et les influences sur un paysage en collaboration avec d'autres prédateurs.
On pourrait intuitivement penser que le carnivore le plus rare d'Afrique du Sud, , serait recherché par les réserves aux économies axées sur le tourisme, malgré les défis de gestion associés. Mais quel est le point de bascule entre "bienvenu pour rester» et problèmes de gestion? Combien de proies (antilopes) doit maintenir une réserve pour assouvir les besoins du Lycaon, jusqu'à quel point cette consommation coûtera t' elle avant de générer des revenus? Quel est le coût financier que peut prendre à sa charge une réserve avant de passer outre les considérations financières et n'avoir qu'une ambition de conservation? Est-ce qu'un équilibre peut être trouvé pour qu'il y ait un compromis durable entre toutes les parties? À quel moment l'intervention sur la gestion d'une population, que ce soit sur 5 000 ha ou 2 000 000 millions d'hectares peut être considérée comme justifiée ou nécessaire? Est-ce que caresser un animal dans une enceinte clôturée vraiment un moyen de sauver cette espèce? Est-ce que ce la conservation est différente entre les éléphants les Lions et les chiens sauvages? Ces questions vont bien au-delà des perceptions étranges et idéaliste souvent présentés comme «conservation» dans les médias. C'est souvent là que la conservation est débattu, parfois avec véhémence.
Ce que nous devons déterminé, est que si les finances sont vraiment la seule considération, que ce soit pour une réserve privée ou une réserve d'état. Si c'est ça , alors c'est qu'ils serait possible que le chien sauvage, soit retiré de notre paysage. Les patrons état ou privé peuvent s'adapter pour devenir plus souple face à des frontières où les chiens sauvages et autres espèces de haut niveau sont les bienvenus d'un côté de cette frontière, mais pas de l'autre, La publicité touristique pourrait en faire une proposition plus attrayante ou est-ce tout simplement trop optimiste? Essayez de vous rappeler la dernière fois ou vous avez vu une annonce favorisant le tourisme "Wild Dog" en Afrique du Sud à la place du Lion ou du rhinocéros? Jetez un œil sur les magazines touristiques locaux faisant la publicité sur les réserves dédiées aux "chiens sauvages" en Afrique du Sud . Réfléchissez si vous souhaitez vous ,diriger vers une réserve pour voir les chiens sauvages ou si vous préférez aller dans une réserve voir les «Big 5» ? Il faut penser "grand" très grand" pour maintenir un pack ou plusieurs packs dans une réserve .
En Afrique du Sud, en disant que "les bonnes clôtures font de bons voisins» la répartition des terrains, géré de manière intensive, souvent perturbateurs et la fragmentation des habitats. La Détérioration de la connectivité des paysages isole des sous-populations et réduit la viabilité, ce qui augmente le risque d'extinctions locales, avec par conséquent des problèmes croissants de gestion au sein des populations restantes. Nous devons déterminer de façon réaliste jusqu’où nous pouvons repousser les limites de la conservation, de la coopération et de la connectivité du paysage.
Les initiatives visant à élargir la gamme actuelle, et de faciliter la gestion proactive des chiens sauvages dans le nord du KwaZulu-Natal est réalisée grâce à la collaboration entre le Fonds fiduciaire de la faune en voie de disparition (EWT), Ezemvelo KZN Wildlife, Wildlife Fund Act, Wildlands Conservation Trust et les participants au sein de la KZN Wild Dog Groupe consultatif. Le EWT nationale du projet métapopulation du chien sauvage est pris en charge par Jaguar Land Rover Afrique du Sud, Land Rover Centurion, RS Components, Knowsley Safari Park et Vins loup peints.
Si des lecteurs rencontrent des chiens sauvages en dehors des zones protégées, s'il vous plaît notez l'emplacement , si l'animal porte un collier de suivi et d'identification, ou, idéalement, prenez une photo des marques caractéristiques. S'il vous plaît aviser Brendan Whittington-Jones 072 992 9483 ou brendanw@ewt.org.za
Brendan Whittington-Jones | Coordinateur KZN Chien Sauvage Groupe consultatif | EWT | # 70
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